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La traversée | D comme Débat – Petite forme itinérante
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D comme Débat – Petite forme itinérante

D comme Débat – Petite forme itinérante

Autour de « D comme Deleuze » et avec la même équipe, Cédric Orain a développé « D comme Débat », une petite forme qui peut jouer partout, par exemple dans le centre de formation d’un club de football avec la lettre « S comme Sport », ou dans des collèges et lycées avec la lettre « A comme Animal » sur la thématique du langage.

« Une petite forme aux airs de conférence participative issue du spectacle D comme Deleuze.

Gilles Deleuze était très curieux et très ému des rencontres possibles entre son œuvre et ce qui sort de la philosophie, et en particulier des gens qui travaillent sur tout autre chose. Il cite comme exemple de ces rencontres possibles, des lettres de surfeurs ou de plieurs de papier qui réagissent à un de ses livres où il est question de la notion de pli.

Alors pour rester dans l’idée de ces rencontres possibles et inattendues, j’ai eu envie de proposer une petite forme décentralisée du spectacle (1h max) , pouvant jouer dans différents contextes, devant toute sortes de publics… par exemple devant un public d’hôpital (médecins, urgentistes, psy), des associations d’alcooliques, un club de tennis, dans un lycée agricole, avec des professeurs des écoles, etc… et à la suite de cet extrait je voudrais mener un débat/rencontre sur T comme tennis, M comme maladie, N comme neurologie, B comme boisson, E comme enfance, A comme animal, P comme professeur, G comme Gauche, etc…
Nous travaillons l’extrait présenté spécifiquement pour chaque public constitué en fonction de la lettre et de la thématique choisies. Nous commençons notre petite conférence comme nous commençons le spectacle, alors comme dans une conférence un échange avec le public se fait, et cet échange nous permet d’avancer en direct, sous les yeux du public, dans l’écriture théâtrale de la lettre choisie.

Nous cherchons à faire une vraie rencontre, pas seulement une rencontre avec les gens, mais surtout une rencontre avec le travail, l’expérience des gens. Et que cette rencontre aille jusqu’à influencer concrètement l’écriture d’un morceau de spectacle.
Je voudrais aussi garder une trace de cette rencontre ; quelques photos, un enregistrement sonore, et quelques extraits des échanges pourront donner lieu à la fabrication d’un petit livret, un abécédaire pour reparcourir ces échanges et ce qu’ils ont fait naître. »